lundi 18 mai 2009

De l'importance de faire l'école buissonnière en campagne


Jeudi dernier après la réunion publique à Avignon, on a décidé - avec les 2 Hélène d'Aix qui me co-voituraient - de tracer sur Nimes où se tenait un meeting du FDG Sud Ouest. En voisines de circo, donc.

Arrivée juste à temps pour la conclusion de Jean Luc Mélenchon, j'apprends que René Revol a annoncé ma présence au micro. C'est chouette. Du coup, quelques personnes viennent me retrouver près de la tribune. Je retrouve Nizou de la Drôme, ravie. Deux sympathisants du Sud Est viennent me voir pour discuter de l'écologie politique au PG, leur démarche me plait et me touche. L'incontournable verre de l'amitié en arrière salle, puis direction l'hôtel de Jean Luc pour diner avec les Hélène (elles sont maintenant 3), René et les camarades du PG. On partage nos impressions de campagne, nos anecdotes, on se détend un peu...

Franchement ce n'était pas très malin de se cogner la route et de se coucher à 3 heures du matin en pleine campagne alors que je suis déjà sur les rotules. Mais ça m'a fait plaisir. Justement parce que ce n'était pas malin. Et parce que dans cet agenda où tout est calé aux horaires sncf, pour une fois prendre la tangente et partir sur un coup de tête, prendre une grande bouffée d'imprévu, c'est vital. Profiter de chaque moment, de chaque rencontre, prendre tout. On se reposera plus tard.

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